Piano à 4 mains : L’univers de Hans Zimmer

Eglise Saint Paul Ã Koenigshoffen, Strasbourg

Entrée libre

L’église Saint-Paul de Koenigshoffen, en partenariat avec Arpèges Armand Meyer accueille Audrey Duquesne & Benjamin Faure pour un concert au piano à 4 mains placé sous la thématique des musiques de films.

?? PROGRAMME

Gladiator, medley : The Wheat - The Battle - Honor Him -Now We Are Free (H. Zimmer)
La ligne rouge : Journey To The Line (H. Zimmer)
Interstellar, medley : Stay - Day One - Detach (H. Zimmer)
Inception : Mombasa - Dream Is Collapsing - Time (H. Zimmer)
Pirates des Caraïbes, medley : Theme Song - One Day - Davy Jones Theme Song (H. Zimmer, K. Badelt)
Batman v Superman : Beautiful Lie (H. Zimmer, J. XL)
Batman The Dark Knight : Like a dog chasing cars (H. Zimmer, J. Newton)

?? UNE RENCONTRE INSOLITE

Audrey a fait ses études pianistiques auprès de Réna Cherechevskaïa (professeure de Lucas Debargue). Elle travaille aussi la musique de chambre dans la classe d’Alain Toiron à Colmar, et obtient en trio son
Diplôme de Concert. C’est juste après, que commençant à enseigner le piano, elle rencontre Benjamin, alors âgé de 8 ans, qui devient son élève. Il apprend le piano quelques années puis arrête, au plus grand désarroi de sa professeure.

Il ne délaisse pas pour autant la musique, ni le piano et vient jouer chaque année ses propres compositions aux événements organisés par Audrey. Autodidacte, DJ et passionné de musique, il
cultive un spectre musical très large et affectionne autant musique classique qu’électronique.

C’est lui qui sollicitera Audrey à jouer ensemble, après toutes ces années à se côtoyer autour du piano. C’est peut-être le temps qu’il aura fallu à chacun pour mûrir et se retrouver, finalement, sur la même longueur d’onde artistique.

?? LA NAISSANCE DU PROJET

L’idée de départ est d’interpréter à 4 mains un morceau de Hans Zimmer que les deux artistes affectionnent. Ils commencent avec une pièce du film The Dark Knight (Christopher Nolan), qui reçoit un accueil très chaleureux et sera l’impulsion du projet.

Ils se lancent alors, semaines après semaines, sur de nouvelles œuvres du même compositeur, sans partition et uniquement à l’écoute (en boucle) des morceaux le plus souvent orchestraux, voir électroniques.

Ils cherchent, testent et remanient leurs arrangements afin de saisir puis retranscrire l’émotion et l’intensité de l’oeuvre initiale. Soucieux du détail sonore, ils exploitent autant que possible les capacités de l’instrument orchestre qu’est le piano. Ils adaptent la pièce sans la changer, tout en gardant une liberté de transcription sonore et d’interprétation personnelle. Complices et complémentaires, leur prestation dégage une alchimie singulière et captivante.