SOIRÉE-DÉBAT POUR LE LANCEMENT DE L’ATELIER - ZÉRO PERTURBATEUR ENDOCRINIEN

La Mairie et centre administratif de la CUS, Strasbourg

Entrée libre

Projection du documentaire « Demain, tous crétins - » de Sylvie Gilman et Thierry De Lestrade (1/2 heure)
« Baisse du QI, multiplication du nombre d’enfants atteints d’hyperactivité ou souffrant
de troubles de l’apprentissage : les tests les plus sérieux révèlent ce qui paraissait inimaginable
il y a 20 ans : le déclin des capacités intellectuelles humaines. Serions-nous
entrés dans une sorte « d’évolution à l’envers » - La question est posée par d’éminents
chercheurs. Au banc des accusés, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi notre
quotidien. »

Suivie d’une conférence participative.
En présence de personnalités expertes sur le sujet, d’élus-es et de citoyens-nes engagés-es.
• Corinne Lepage, présidente de l’association Justice Pesticides, ancienne ministre
de l’Environnement
• Chantal Cutajar, adjointe au Maire en charge de la démocratie locale et des marchés publics
• Alexandre Feltz, adjoint au Maire en charge de la santé publique et environnementale
et de la lutte contre les perturbateurs endocriniens, médecin
• Docteur Jacques Reis, docteur en médecine, neurologue, prof. conv. UDS en charge
de la médecine environnementale à la faculté de médecine
• Docteur André Clavert, PhD, HDR, membre de la Conférence Régionale de la Santé
et de l’Autonomie Grand Est, administrateur de l’Instance Régionale de Prévention
et de Promotion de la Santé
• Marie-Madeleine Braud, déléguée régionale du Réseau Environnement Santé
• Ludivine Quintallet, représentante de parents d’élèves, co-fondatrice du collectif
Projet Cantines Strasbourg et co-présidente de l’association Cantine Sans Plastique France
• Simon Baumert, co-fondateur de Zéro Déchet Strasbourg, association de lutte contre
les déchets

Un atelier sur le thème des perturbateurs endocriniens, initié par des citoyens-nes
engagés-es et avec l’appui de la Ville de Strasbourg, sera mis en place à la suite de cette
soirée. Il contribuera à alimenter les politiques publiques de lutte contre les perturbateurs
endocriniens, à l’échelle locale, nationale et européenne.